Pompeusement, on peut les appeler « aphorismes », mot issu du grec ancien aphorizein, qui veut dire délimiter, déterminer, définir de manière serrée. Elles cherchent à distinguer ce qui vaut de ce qui ne vaut pas. Par leurs formules osées, parfois insolentes, voire impertinentes, elles n’ont pas peur de faire des étincelles. Elles ouvrent sur un genre très particulier de philosophie : la philosophie à coups de marteau. Toujours avec un œil qui rit – et l’autre qui pleure.
Pensées athlétiques publiées